Les Disparus du Cap d’Arme

☠ Les disparus du Cap d’armes : Un groupe de jeune décide d’organiser une soirée pour fêter les vacances et l’été. Ils ont bien l’intention de veiller toute la nuit … Cette nuit sera longue mais pas comme ils l’avaient imaginé ! Une nouvelle qui commence avec un avis de disparition, un groupe de six jeunes à disparus pendant la nuit du 2 au 3 juillet 2000. Une nouvelle à la façon un peu thriller psychologique. Je ne m’attendais pas à cette fin et j’ai beaucoup aimé le style.

Récemment, je vous ai parlé d’une des autres parution de John Lucas, qui était pour moi, la toute première que je lisais. J’ai super bien accroché avec ce récit, j’ai donc voulu poursuivre ma découverte sans attendre, surtout que j’ai déjà ses parutions en ma possession.

Cette fois, nous sommes dans un registre un peu différent, même si l’influence de Stephen King se fait toujours bien ressentir. Non, pas de chien au comportement étrange, mais bien des événements carrément inexplicables qui vont s’enchaîner.

Enzo, va organiser une petite fête afin de célébrer sa réussite. Jusque là, tout est on ne peut plus normal. Mais, lorsque la fête commence, que les verres se vident, que les esprits s’échauffent facilement, un homme étrange surgit de nul part. Personne ne semble le connaître, personne ne l’a apparemment invité non plus. Mais alors, qui est-il et surtout, que fait-il là ?

Le plus étrange, ce n’est même pas sa présence à la fête, mais bien les paroles qu’il va dire. Si vous me suivez sur Instagram, il s’agit de ce que je vous ai partagé dans « Les extraits du dimanche ». Mais, si sa présence dans la maison du jeune homme est déjà étrange, que dire des événements qui vont s’enchaîner à partir de là ?

Hallucinations ou réalité ? Mauvais rêve ou réalité ? Nous en venons à nous poser pas mal de questions, tout comme Enzo et les autres adolescents présents à la fête. De plus, il semble y avoir un rapport avec la personne présente sur une photo chez Enzo, mais cela pose encore plus de questions. Mais pourquoi tant de questions qui ne semblent pas avoir de réponses, quel rapport avec cette personne de la photo, quel rapport également avec le phare du Cap d’Arme ?

Personnellement, je me suis prise au jeu de tenter de deviner le fin mot avant la fin… J’étais tellement loin de la vérité 😨 Pourtant je me suis approchée de cette vérité à un moment, puis, vu certains événements, je m’en suis écartée, loin, trop loin. Je me suis dit que ce que je pensais apercevoir n’était qu’une hypothèse un peu trop loufoque. Pas tant que cela finalement. Mais je ne peux que dire bravo à l’auteur pour avoir réussi à brouiller les pistes à ce point !

Cette fois encore, tout comme pour Cerbère, j’ai totalement adhéré à ma lecture, j’étais dedans à 100%. Quand est arrivée la révélation, j’ai eu envie de tout oublier et revenir au début pour tout recommencer. J’aime beaucoup le style de l’auteur, qui a indéniablement lu pas mal de livres de Stephen King, j’en suis certaine.

Alors, prêt à frissonner ? Prêt à essayer de découvrir la vérité ? Besoin de livres pour Halloween ? Lancez-vous dans les parutions de cet auteur, effet garanti !

J’ai acheté la version brochée.

Le style est propre, fluide, efficace : ça se lit facilement et avec plaisir. J’ai terminé en une soirée. Gros avantage pour moi qui n’ai pas trop de temps à consacrer à la lecture en ce moment.

J’ai trouvé l’intrigue bien pensée, bien ficelée et originale dans un genre où il n’est pas forcément facile de se distinguer.

Teaser :

Quand un membre d’une fratrie disparaît, cela peut provoquer chez les autres un sentiment de culpabilité. « Pourquoi lui et pas moi ? » La vie d’Enzo n’est plus la même depuis que son petit frère n’est plus là. Il n’arrive même pas à apprécier la fête qu’il a organisé pour la fin du bac, au cours de laquelle va se sceller son destin.

Je vous recommande vivement cette lecture.

Afin de me remettre dans le contexte originel de cette nouvelle, je n’ai eu d’autre choix que de me poser confortablement sur mon canap’, une bonne bière Belge à la main.
Me souvenant que c’est ainsi que John et ses potes avait imaginé ce récit.
Pour commencer, c’est fort dommage que leur état d’ébriété fut insuffisant pour entériner définitivement leur idée d’en faire un court métrage. A moins que le dit état ne dépassât certaines limites, noyant inexorablement leur mémoire dans une brume bien trop épaisse.
Ne m’en déplaise, car des années plus tard, me voilà, livre en main, mousse aux lèvres pour me délecter de cette passionnante nouvelle.

Tout est y admirablement mené et je suis épaté par le format court super bien maîtrisé par l’auteur, placement du décor, des personnages, rythme, action, et un beau final, tout ça en 70 pages, c’est un exercice dont je bien serais incapable.

Concrètement « les disparus du cap d’arme » est une nouvelle d’horreur, de grands adolescents qui vont se voir confronter à une entité surnaturelle.
Tout commence lors d’une fête d’adolescent et qui dit fête dit alcool, on y revient toujours en encore. D’ailleurs, clin d’œil à la partie de caps, qui m’a rappelé des souvenirs de mon enfance (de l’été dernier). La fête va tourner court, et laisser sa place à l’horreur, âme sensible fermez les yeux.
En effet, vont s’enchainer des scènes très visuelles dignes des classiques cinématographiques du genre. Sans spoiler, c’est glauque, flippant, hémoglobinant (ça c’est pour énerver mon correcteur automatique)
Tous les éléments sont bel et bien là pour vous faire passer un excellent moment de détente frissonnante.

L’écriture est rythmée, sans fioriture, inutile pour ce type de format.
John prend quand même un soin particulier à nous imposer ses personnages qu’on affectionne rapidement, ce qui s’avère préférable, car leur présence n’est parfois que fugace.
J’avais beaucoup aimé « Le pacte des cinq » de notre John national, une nouvelle également, mais j’ai préféré celle-ci de par sa construction et son rythme. Même si on y retrouve certains clichés, sans connotation péjorative, car je suis friand de ce genre de clichés, comme Enzo qui fait les courses pour sa soirée « alcool, chips et capotes » la base quoi !! (enfin quand t’as 18 ans… note pour moi-même : vérifier les achats de ma fille lors de sa prochaine teuf…).
Vous aurez compris que j’ai beaucoup aimé ma lecture et je vous conseille vivement de vous y plonger, c’est sombre, rapide et efficace, tout ce que j’aime.
Quoi de mieux qu’un bon livre, un canap’ et une bière pour embellir ta vie.
Bon apéro et bonne lecture, biz à tous

Le récit de cette soirée pour fêter la fin du bac est prenant, rythmé, inquiétant.
L’ambiance est sombre, mystérieuse, tout les ingrédients d’ne simple soirée qui vire au cauchemar sont là. Durant ma lecture, je voyais défiler les images comme dans un film avec la petite musique en fond qui vous fait frissonner …

Cette nouvelle est une réussite et je ne peux que vous la conseiller. Laissez vous plonger en plein mystère le temps d’une soirée.

On débute notre lecture sur l’extrait d’un article. Son contenu suscite automatiquement quelques questions. L’auteur a donné le ton, l’ambiance du livre sera pesante. C’est ce qui m’a en partie poussé à continuer la lecture, en plus de la recommandation des parents d’Enzo concernant la photo de son frère. Ma curiosité s’accentue donc au fur et à mesure des évènements. Et lorsque cette photographie tombe au sol, on sent tout de suite que cette nuit sera très très longue. 🧟

Je l’avais déjà lue il y a quelques mois en bêta lecture et j’avais apprécié ma lecture. Cette fois-ci me voici face à la version finale.
C’est une nouvelle donc je vais pas trop vous en parler au risque de spoiler mais je vous avoue que même après 2 lectures il y a encore beaucoup de zones d’ombres! Et ce n’est pas pour me déplaire car il y aura autant de versions que de lecteurs
Enzo est un ado de 18 ans qui organise une fête chez lui. Adam et sa bande s’incrustent, sa cousine Emma est présente aussi. La soirée se passe bien jusqu’à l’arrivée d’un homme étrange et menaçant au look gothique. Qui est cet homme? Et pourquoi des visions d’horreur apparaissent dès qu’il part? Pourquoi tous les amis d’Enzo meurent autour de lui? Pourquoi sa maison lui apparait détruite? Et que vient faire ici son petit frère Gabi disparu plusieurs années auparavant?
Parti d’un fait divers à propos d’adolescents disparus au cap d’arme, l’auteur brouille les pistes et les temporalités, distille une atmosphère pesante et angoissante. Un peu comme ces films d’horreur de nos jeunes années du type « Souviens toi l’été dernier » on a la bande de jeunes, le type menaçant et tous les événements qui s’enchainent tous plus violents les uns que les autres. La nuit, la tempête sont bien entendu de la partie. Jusqu’à un final qui n’offre aucune rédemption mais qui brouille encore plus les pistes, qui interroge sur la notion de réel, de pardon…
Bref une nouvelle un brin surnaturelle et angoissante qui propose plusieurs niveaux de lecture et de compréhension.

Tout d’abord, toutes mes félicitations à John Lucas de s’être lancé dans l’autoédition pour laquelle il oeuvre depuis longtemps par ses interviews, son annuaire et ses chroniques !
C’est donc avec un réel plaisir que je me suis lancé dans la lecture de sa nouvelle “Les disparus du Cap d’Arme”.

Le Cap d’Arme est un coin de l’île de Porquerolles où se trouve un phare. En ce lieu, de jeunes campeurs ont disparu et à leur place, un enfant disparu auparavant a été trouvé.
L’un de ces disparus, Gabriel, est le frère d’Enzo, le héros. Celui-ci afin de fêter les vacances et son bac organise une fête. Forcément, des fauteurs de trouble font prendre une tournure particulière à cette soirée qui se transforme en nuit interminable, mystérieuse et meurtrière.

J’ai particulièrement apprécié l’ambiance pesante et inquiétante de cette nouvelle. De plus, la plume de John est moderne et efficace. Le récit est rythmé grâce aux multiples obstacles que rencontrent les jeunes personnages.

Et que dire de cette fin, si ce n’est que j’ai adoré l’idée ! La boucle est bouclée !

Bravo John pour cette première œuvre et hâte de découvrir les suivantes !
Je te recommande vivement “Les disparus du Cap d’Arme” tout comme de suivre son compte passionnant et divertissant.

Une seule chose à la fin : BRRRRRRR 😱😱😱😱.
Alors là j’avoue c’est glaçant, tout ce qu’il faut d’horreur, de « oh bon sang », « oh mon dieu » et « mais noooon » ! Moi qui suis une grande adepte des histoires de Stephen King, j’avoue que je ne suis pas déçue par cette nouvelle, j’aurais aimé encore plus de pages parce que j’étais à fond dans ma lecture. Pour chacune de ses nouvelles l’auteur use d’une plume captivante, angoissante et d’un suspense glaçant mais j’avoue que celle-ci, du fait du dénouement m’a encore plus horrifié, bien joué monsieur 💪🏻

Que ça se lit vite ! J’ai dévoré le livre en quelques heures et je n’ai pas su le lâcher en cours de route. Il est paranormal, mystérieux, intrigant et trop court !

Un mystérieux adolescent au style gothique fait son apparition au beau milieu de la fête organisée par Enzo. Il aimerait leur raconter la légende urbaine concernant les disparitions du Cap d’Arme, mais il est mis dehors par les fêtards.
La soirée va vite tourner court mais la nuit va être longue, très longue et pleine de bizarreries…

Même si j’ai aimé l’histoire, j’avoue que je suis restée sur ma faim. J’aurai aimé en savoir plus sur ce qu’il s’est passé en juillet 2010. J’aurai aimé avoir plus d’explications sur la disparition de Gabriel, sur ce cycle. Cela dit, c’est le but d’une nouvelle, non ? Laisser planer des doutes, du mystère… Et j’avoue que cette fois, le thème s’y prête parfaitement (mais ça reste quand même frustrant).

Ce livre n’a pas été un coup de cœur comme a pu l’être Le Pacte des Cinq, mais j’ai tout de même passé un très bon moment.

L’écrivain n’en est pas à son premier essai, mais  » Les Disparus du Cap d’Arme  » est la première nouvelle qu’il autoédite.

⏳📛🛤 LA COUVERTURE est tout à fait conforme avec les ingrédients et le style de l’histoire.

⏳📛🛤 LA PLUME de l’auteur est abordable, agréable, assez fluide et immersive dans son approche moderne.

⏳📛🛤 L’HISTOIRE se pose tout à fait dans la tradition du thriller horrifique. L’ambiance sombre et inquiétante m’a rappelé avec bonheur une série que je regardais lorsque j’étais ado :  » Le Voyageur  » (The Hitchkiker, 1983). Courte, mais menée avec un rythme effréné, on n’a pas le temps de s’ennuyer ! Quelques passages auraient mérité un petit développement supplémentaire, mais les événements s’enchaînent bien même s’ils sont prévisibles pour certains.

⏳📛🛤 LES PERSONNAGES sont une belle réussite. Leur développement est cohérent, leur voix propre. On les suit tous avec beaucoup d’empathie.

⏳📛🛤 POUR CONCLURE,
si vous êtes fan du genre, un conseil : foncez ! Vous passerez un bon moment.

Bien sûr, ce court roman fantastique (ou cette longue nouvelle, comme on voudra) n’est pas exempt d’imperfections, voire de quelques facilités. Faisons confiance à l’auteur pour les corriger avec l’expérience dans ses textes futurs. Mais quel dynamisme dans le récit ! Au bout de quelques pages, on est entraîné dans un véritable tourbillon d’images, de sensations, de forces en tension. L’intrigue court à cent à l’heure, dans un maelström quasiment psychédélique dont le lecteur ne peut se détacher. La narration fonce comme une voiture lancée à toute vitesse dans la nuit. C’est bien fait, haletant, presque dérangeant. Et c’est une nouvelle preuve que l’auto-édition permet de révéler des auteurs originaux qui méritent le détour.

Depuis plusieurs années, John lucas met en avant les auteurs indépendants publiés dans des petites maisons d’édition et qui se battent pour se démarquer dans le monde éditorial. Il a donc mis plusieurs concepts sur son compte, afin de mettre en avant de nombreux écrivains en herbe découvrir de nouvelles pépites ! Maintenant, c’est à mon tour de le mettre en avant à travers cette petite chronique.

Cette nouvelle a été l’occasion de découvrir sa plume prometteuse et de me plonger dans son univers sombre et impitoyable.

Vous recherchez une lecture divertissante et effrayante ? Cette histoire est faite pour vous !

Alors, de quoi ça parle ?

La soirée commençait plutôt bien pour cette bande de jeune qui fêtaient le début des vacances scolaire. Enfin, presque pour tous, si on doit compter Enzo, l’hôte forcé d’accepter l’invitation d’invités non désiré.

Mais voilà, la soirée vire rapidement au drame et les jeunes disparaissent un à un dans des conditions mystérieusement effrayantes…

Enzo parviendra-t-il à rétablir la vérité et renverser l’ordre des choses ? Et si chaque chose devait revenir À SA PLACE ?

Les deux personnages principaux sont attachant de par leur passif, et c’est un exercice très difficile pour l’écriture d’une nouvelle. Pourtant, au début je n’appréciais pas Adam, mais j’ai vite changé d’avis. Les protagonistes, surtout Adam, ont une belle évolution tout au long de l’intrigue qui est palpitante ! Chaque « chapitre »se lit délicieusement vite et la fin de chaque » partie » est angoissante et pourvu de cliffangers.

Je ne peux pas en dévoiler trop afin de ne pas spoiler, mais j’ai trouvé la nouvelle vraiment bien écrite, fluide et en même temps stressante. La plume de John est quasiment aussi oppressante que les maîtres des thrillers et j’ai fait l’erreur de terminer le texte avant d’aller dormir alors je prie juste pour ne pas faire de cauchemars !

L’ambiance est finement écrite, opaque et sombre à la fois. Du brouillard, du sang et des événements inexplicables et atroces sont au rendez-vous ! L’auteur sait poser un décor horrifique qui aura tôt fait de vous glacer les veines. Les pages s’enchaînent vite et on stress de plus en plus pour les héros. Vont-ils s’en sortir ?

Au fur et à mesure de ma lecture, j’ai senti une influence à la M night Shyamalan (réalisateur talentueux de film d’angoisse que je vous conseil) et à la Stephen King pour son aura mystérieuse.

Un grand bravo à John pour cette nouvelle très réussi qui donne envie d’en connaître davantage sur cet univers. J’ai cependant regretté que ce soit terminé trop tôt et il y’a de nombreuses questions que je me suis posée sur le pourquoi de ces événements auquel je n’ai pas trouvé de réponses (un peu frustrant donc).

En dehors de cela, j’ai passé un super moment, et cet écrivain, qui se démène pour la visibilité de ses compairs mérite pour moi encore plus de succès qu’il le rencontre déjà.

N’oubliez pas une chose : les commentaires Amazon et sur d’autres plateformes sont très importantes pour la visibilité des auteurices qu’ils soient publiés en ME ou AE. Si vous avez le temps et la possibilité de le faire, n’hésitez pas !

Merci encore à John pour tout ce qu’il entreprend pour ses collègues d’écriture (interview, création d’annuaire d’auteur, émission Instagram et nombreux posts). N’hésitez pas à aller sur son profil pour lui faire atteindre les 2000 followers, il le mérite !